Anaïs Maes

Veiller à ce que tout le monde bénéficie de chances égales passe par l'éducation. Je crois fermement que l'enseignement néerlandophone à Bruxelles doit être le tremplin de nos jeunes. Plus largement, je veux contribuer à construire une ville où chacun peut s'épanouir, une ville à taille humaine.

Carrière

Je suis une Bruxelloise de souche, fille d’un père néerlandophone et d’une mère francophone. Sur la plan professionnel, j’ai fait plusieurs choses. Entre 2005 et 2008, j’ai été présentatrice à l'ancienne radio régionale FM Brussel et à TV Brussel. Je suis ensuite devenue chercheuse à la VUB, puis professeur invité. Au cours des dix dernières années, avant de me lancer dans la politique, j'ai enseigné l'histoire au GO! Atheneum Etterbeek. Je m'y suis engagé en tant que délégué syndical de la CGSP.

L’enseignement dans le sang

En 2018, j'ai été candidat sur la liste change.brussels. Après qu'Ans Persoons a échangé son échevinat contre le poste de Secrétaire d'État bruxelloise, je suis devenue échevine à Bruxelles-Ville le 4 septembre 2023, en charge de l'Urbanisme, de l'Espace public, de l'Enseignement néerlandophone et des Affaires néerlandophones.

En coulisses, j'étais déjà conseillère en éducation au sein de Vooruit. L'enseignement néerlandophone est donc une compétence que j’ai dans la peau.

Qu'est-ce qui te rend heureux ?

En tant qu'enseignante, j'aimais voir les jeunes grandir et s'épanouir, quel que soit leur milieu d'origine. Aujourd'hui, je veux le faire à plus grande échelle.

Qu’est-ce qui compte le plus pour toi ?

Les personnes qui m'entourent me sont les plus précieuses - ma fille, ma famille, mes amis, mes collègues et les rencontres fortuites.

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